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14 mai 2006

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12 mai 2006

Le deuil de l'animal

La vie de nos animaux familiers est toujours trop courte.

Un chien selon sa taille peut vivre en moyenne 10 à 17 ans, un chat 16 à 18 ans.

Le perdre peut être une épreuve douloureuse et difficile à supporter.

A l’annonce de la mort de leur compagnon, nombre d’entre nous se demandent comment désormais vivre sans lui?

Que l’animal très aimé qui a partagé nos joies et nos peines arrive en fin de vie et s’éteigne doucement ou qu’il meurt brutalement d’une maladie foudroyante empoisonné ou renversé par une voiture, c’est toujours un immense chagrin et l’heure de pleurer.

Dans le premier cas les maîtres ont pu se préparer à cette échéance. Ils savent que la mort fait partie du cycle de la vie, et connaissent bien la trop courte espérance de vie de leur compagnon.

Par contre si la mort est violente, inattendue, que l’animal est très jeune, alors cette disparition est encore plus insupportable et éveille une grande colère, voire le refus de croire à ce qui vient d’arriver.

Les morts qui nous semblent prématurées sont tout particulièrement bouleversantes et la brutalité d’un décès accidentel n’offre pas la préparation au deuil.

  • L'euthanasie

Pour un animal qui arrive en fin de vie ou dans la dernière phase d’une maladie mortelle, qui souffre trop, se replie sur lui, perd conscience, ne mange plus, les maîtres se posent la question de l’euthanasie pour lui éviter la pire des agonies et couper court à des douleurs insupportables.

Décider que la vie de notre compagnon doit s’arrêter là, est une des résolutions les plus difficiles à prendre. Comment déterminer le degré de souffrance de l’animal, à partir duquel il ne sera pas charitable de le maintenir en vie, si ce n’est juste pour différer notre douleur de le perdre.

Nous avons envie de dire à tous ceux qui sont ou seront un jour confrontés à cette terrible échéance, qu’il s’agira de percevoir avec le plus d’honnêteté possible le moment où la souffrance et la détresse auront gagné sur le plaisir de vivre de l’animal. Les pertes de l’appétit, des capacités motrices et de l’intérêt pour l’entourage, l’incontinence massive, les plaintes et gémissements, étant quelques-uns des signes évidents de cette détresse. 

Avec l’avis de son vétérinaire et mis devant l’évidence, on peut alors avec le praticien prendre la lourde décision de lui faire administrer une injection pour « une mort douce». 

Pour ceux qui le souhaitent et peuvent le supporter, il est recommandé d’accompagner courageusement son animal jusqu’au bout. Certaines personnes derrière cette épreuve, gardent ainsi le réconfort de ne pas s’être détournées et d’avoir jusqu’au dernier instant assisté dignement leur compagnon.

  • Un cérémonial est nécessaire

Se pose alors une dernière question : que faire du corps de l’animal ?

Plusieurs solutions sont possibles :

  • le laisser chez le vétérinaire.

  • l ’enterrer dans son jardin à la campagne (à condition de respecter les réglementations : profondeur et chaux vive)

  • prendre une place dans un cimetière animalier

  • opter pour la crémation qui permet d’enterrer ou disperser ses cendres dans un endroit aimé.

Chacun choisira selon sa sensibilité, mais un cérémonial comme enterrer ou faire incinérer l’animal mort peut aider beaucoup le travail du deuil. 

Se renseigner d’avance et parler de ces dernières dispositions à prendre, peut faciliter les choses le moment venu, quand on se trouve trop écrasé de chagrin.

  • Est-il normal d’être déprimé après la perte de son animal ? Combien de temps cela dure t-il ?

Les effets du deuil et sa chronologie sont trop peu souvent évoqués. Notre société d’aujourd’hui plutôt portée à allonger la vie, préfère ne pas parler de la mort.

Pourtant, le deuil qui est à la fois état et conséquences de la perte d’un être cher est un phénomène normal.

Il n’est pas fou d’avoir du chagrin à la perte de l’animal avec qui on a parfois passé 15 ans d’une vie. C’est même notre dernière expression d’amour pour lui et mieux vaut éviter en cette période les personnes qui ne le comprendraient pas.

Il est au contraire réconfortant de pouvoir exprimer son chagrin auprès de sa famille ou d’amis qui peuvent le recevoir.

Celui qui peut parler, dire son émotion et pleurer avec les siens est favorisé. Il est important de ne pas se sentir critiqué dans sa douleur mais d’être compris et respecté. 

La meilleure aide pour un endeuillé vient de personnes proches aimant elles aussi les animaux, patientes, indulgentes et sachant simplement écouter sans rien vouloir empêcher de la douleur et des larmes de l’autre.

Tout le monde ne réagit pas de la même manière, et certaines personnes auront plus ou moins besoin de contacts ou d’intimité.

Le deuil se caractérise par l’humeur dépressive, la perte de l’intérêt pour le monde extérieur, la culpabilité, et peut conduire à une dépression grave. Mais attention à ne pas prendre toutes ces manifestations normales du deuil pour un état pathologique.

À la perte d’un animal très aimé, le chagrin est inéluctable et naturel. C’est l’absence d’affliction qui peut être anormale et doit être repérée par les proches. Le maître endeuillé peut aussi nier cette mort et faire comme si l’animal était encore là, or non-dit et refus de la mort diffèrent ou bloquent le deuil.

  • Les différentes phases du deuil

Le déroulement normal du deuil passe successivement par différentes phases :

  • D’abord le choc : celui qui reste, heurté, secoué dans toutes ses fibres, saisi d’une lassitude écrasante est atteint jusque dans sa santé, perd l’appétit, le sommeil.  Émotionnellement perturbé, tour à tour agité il crie sa peine, ou comme anesthésié, silencieux, muré, il gémit livré à des affects d’impuissance, de révolte, de colère, d’abandon, de honte parfois, de culpabilité souvent.

Tel maître se sent coupable de n’avoir pas repéré plus tôt les premiers signes de la maladie et n’avoir pas conduit son chien ou son chat de suite chez le vétérinaire ; tel autre de n’avoir pas prévu le danger qui guettait son compagnon. S’en prenant à la terre entière « pourquoi est-ce mon chien qui est mort ? », d’autres enragent aussi de la négligence d’un tiers qui a mal refermé le portail du jardin, contre le chauffard qui a renversé leur animal, ou le maître de ce chien qui a brisé la colonne de son chat… Certains rendent responsable le vétérinaire de n’avoir pas fait tout ce qui était en son pouvoir pour sauver leur animal.

Même celui qui a pu se préparer à son deuil, n’échappe pas à cette phase qui peut être moins violente mais plus insidieuse, et jeter parfois davantage dans la torpeur.

  • Puis vient l’état dépressif : comme soudain coupé des autres, c’est la grande solitude. L’endeuillé est seul à savoir ce que la perte de son animal représente de douleur pour lui. Tout est sombre, chaque geste du quotidien est laborieux, ce qui pourrait le divertir est rejeté, il ne peut être distrait ni déchargé de sa tâche de remémoration des souvenirs communs avec l’animal chéri. Sans plus être très bien capable de s’occuper de lui-même, il a besoin d’être protégé, consolé. Il faut ce temps comme pour tourner à vide… pour accepter peu à peu la réalité, la révolte, la blessure, l’état de fragilité, le déséquilibre qu’a engendré la perte.

Des rêves surviennent, on voit le chien, le chat encore vivant, puis il s’éloigne, s’estompe, s’efface…

  • Enfin avec le temps grand consolateur du deuil, la douleur s’adoucit même si elle se réveille plus ou moins à des occasions anniversaires ou en croisant un autre animal de même race…celui que l’on ne peut plus voir, sentir, caresser va maintenant vivre à l’intérieur de nous. Sa photo nous accompagne, on aime évoquer les bons moments passés en sa compagnie …on sait qu’il n’est plus, mais il reste présent au fond de nous à jamais. On accepte ce passé qui ne sera plus et l’avenir qui ne sera pas avec l’être perdu.

Ce parcours achemine vers la finalisation du deuil, qui laisse enfin la possibilité de reprendre goût à la vie.

Ces différentes phases ne sont normalement que passagères, et c’est par contre si le maître s’enferme dans l’une d’elle qu’il ne peut terminer son travail de deuil et sombrer dans la dépression.

  • Peut-on parler de la mort aux enfants, et comment ?

Pour comprendre et accepter, les enfants ont besoin de connaître la vérité.

Selon leur âge, la nature et la force du lien qui les unissait à leur compagnon, ils peuvent être plus ou moins troublés ou affectés par sa perte.

La mort est perçue différemment selon les âges : 

  • Des explications justes mais simples seront suffisantes pour les plus jeunes jusqu’à environ 6 ans. Pour les petits le « plus jamais » n’existe pas encore et il ne sera pas véritablement question de deuil pour eux, mais d’expérience de séparation, de perte qu’il faut veiller à ce qu’elle ne soit pas vécue dans la solitude. C’est la toute chaude présence rassurante des parents qui leur permettra de dépasser l’épreuve sans traumatisme.

  • Les plus grands poseront de nombreuses questions, inutile cependant d’entrer dans des détails qui pourraient les choquer. Par contre, répondre avec clarté aux interrogations fréquentes comme « est-ce qu’il a mal, est-ce qu’il a froid ? » rassure et apaise le jeune. 

Présenter franchement les faits douloureux ainsi que proposer à l’enfant de voir l’animal mort s’il le souhaite, n’est pas choquant pour lui comme beaucoup le croient habituellement. Cela le conduit au contraire à l’acceptation de l’irréversible de cette perte.

De même que l’adulte, il sera aidé dans son travail de deuil s’il peut ensuite fleurir la tombe de son animal, ou savoir où sont ses cendres.

L’enfant qui perd son petit compagnon adoré, voit sa souffrance majorée si les parents font silence sur l’évènement, et ne veulent pas lui laisser vivre la réalité des choses. 

Le sentiment de solitude et d’abandon qui pourrait en résulter, ne ferait que le bloquer dans ce passage pourtant obligé par la souffrance, qui lui permettrait de rompre progressivement les liens avec l’animal perdu.

L’enfant qui éprouve de l’angoisse face à la mort, sera rassuré si vous lui dites que toutes les maladies ou les blessures n’y mènent pas forcément.

Lui dire que l’on a volé son chat ou son chien ou bien qu’il est parti… ne le ferait que développer des scénarii faux et angoissants du genre « il est parti parce que le l’ai disputé, est-ce qu’il va revenir ? ». Il pourrait se sentir trahi le jour où inévitablement il apprendra la vérité.

Parce que l’on ne peut jamais soustraire ses enfants aux épreuves de la vie, il ne sert à rien de vouloir les abriter de la mort de leur animal chéri. Cette tentative de se protéger soi-même les empêche de grandir et de se préparer sainement à la vie et aux pertes inévitables qui la jalonnent. 

Il est donc capital que l’enfant puisse dire sa peine à ses parents, extérioriser ses émotions et se sentir accompagné dans son chagrin. Il peut le faire d’autant mieux que les adultes eux-mêmes ne dissimulent pas leur propre peine en lui montrant ainsi qu’il est normal de l’exprimer.

  • Ne pas négliger les autres animaux de la maison

Plusieurs animaux qui cohabitent, tissent entre eux des liens d’attachement. Lorsque l’un d’eux décède, l’autre le cherche et ressent un vide. Il perçoit aussi la détresse de son maître qui le délaisse un peu.

Dans son chagrin, il ne faut pas oublier celui qui reste et s’efforcer de lui consacrer du temps et lui garder ses habitudes. Faute d’attention, certains petits compagnons de longue date dépriment, ou même se laisse mourir à la suite de la disparition de leur « copain ».

Sans ce nécessaire travail naturel du deuil, aucune relation nouvelle avec un autre ne pourra se nouer sainement. 

Se précipiter de manière prématurée pour reprendre un compagnon fait partie de ces vaines tentatives d’échapper à l’incontournable souffrance du deuil qui ne manquera pas de ressurgir un jour dans un moment et des circonstances inattendus. 

C’est également exposer douloureusement « l’animal de remplacement » à des comparaisons sûrement pas toujours à son avantage par rapport au mort idéalisé.

Ce malheureux « remplaçant » risque fort d’en souffrir, toujours perdant dans cette sorte de compétition inégale. Nié dans ses qualités propres et sa singularité, le nouveau chien ou chat souvent choisi de même race et de même couleur, n’étant là que pour masquer la perte du précédent. 

« Jamais ce chien ne pourra dominer, se soumettre, se hiérarchiser, s’enfuir ou se cacher, éprouver un code clair de comportement avec ce maître-là, parce qu’il est à la fois appelé et chassé, attendri et angoissé. » « Il ne pourra participer à aucun rituel d’interaction cohérent, puisque dans l’esprit de son maître « il a été mis là pour » évoquer le disparu et souffrir de la comparaison. » Boris Cyrulnik (l’ensorcellement du monde, éd. O. Jacob pages 132 à 141) y expose très bien le drame du « chien de remplacement » toujours victime de troubles du comportement.

Tout animal chéri disparu est irremplaçable. Celui qui lui succèdera pour continuer avec vous un bout du chemin de la vie se montrera capable de vous apporter aussi du bonheur, si après votre deuil, vous savez l’accueillir pour lui-même.

Co-rédaction de Danièle  Mirat et Françoise Gaudron comportementalistes

11 mai 2006

Phase croissance

1. Phase croissance du sevrage à 15 mois.

Un chiot Maxi met 15 mois au minimum pour devenir adulte. Sa croissance longue et particulièrement délicate, notamment au niveau du développement osseux, se déroule en 2 phases distinctes. Elles s'articulent autour des besoins énergétiques, de la maturité du système digestif et du développement des dents.

Deux temps, c'est le bon rythme pour l'aider à grandir :

- Phase 1 : Du sevrage à 5 mois : une croissance intense.

- Phase 2 : de 5 à 15 mois : une consolidation progressive.

2. Phase croissance 1 du sevrage à 5 mois : Maxi Babydog.

Lors de cette première phase de croissance intense, le chiot Maxi construit son squelette : il prend 130 G par jour en moyenne, pour atteindre 50 % de son poids adulte en seulement 5 mois. Dans le même temps, son système digestif est encore fragile.

Les bons conseils :

- Surveillez son poids et l'allure de sa courbe de croissance. Vérifiez sa condition corporelle. Palpez ses côtes et ses hanches : sa peau doit rouler sous vos doigts.

- Ne laissez en aucun cas le chiot manger à volonté : une surcharge pondérale entraînerait une pression trop forte sur ses articulations, qui ne sont pas encore solidifiées.

Maxi Babydog (4 mois pour les races sujettes à l'embonpoint, par ex. Labrador, 6 mois pour les races sujettes à la maigreur par ex. Berger Allemand, Beauceron, Boxer, Lévriers, etc.

- Satisfait les besoins élevés du chiot Maxi grâce à un aliment concentré en énergie (4 388 Kcal par Kg), rationné pour respecter sa capacité d'ingestion limitée, une teneur adaptée en calcium, en phosphore, associée à de la chondroïtine et de la glucosamine pour construire un squelette harmonieux et sain.

- Facilite la préhension du chiot grâce à des protéines de très haute digestibilité, des minéraux insolubles, une teneur réduite en amidon, dont la source unique est le riz, des fructo-oligo-saccharides et de la pulpe de betterave pour l'équilibre de la flore intestinale.

Parfaitement réhydratables pour reproduire la consistance d'une bouillie, Maxi Babydog permet le passage d'une alimentation liquide (lait) à une alimentation solide (croquettes) et donc un sevrage facile du chiot.

Maxi Babydog intègre Immunity Booster : une composition spécifique pour aider à construire les défenses naturelles du chiot.

3. Phase croissance 2 : de plus de 5 mois à 15 mois : Maxi Junior.

Cette deuxième phase de croissance se caractérise par une consolidation progressive. L'évolution de la taille et du poids s'effectue selon un rythme plus lent : pendant encore une dizaine de mois, le chiot développe sa masse musculaire et solidifie sa structure osseuse.

Les bons conseils :

- Un aliment donné en excès ne fera pas davantage grandir votre chien mais conduirait à une prise de poids trop rapide. Sa taille adulte dépend uniquement de la génétique ! Respectez donc strictement les rations indiquées.

- Il n'a pas besoin de calcium en plus d'un aliment spécial croissance. C'est non seulement inutile mais dangereux pour le bon déroulement de sa croissance.

- Son activité physique ne doit pas être trop intense trop tôt. Commencez progressivement à partir de 3 mois.

Maxi Junior :

- Maîtrise le rythme de la deuxième phase de croissance grâce à un apport modéré en énergie (3 948 Kcal par Kg), mais suffisant en protéines (32 %) pour un développement optimal, sans prise de poids excessive.

- Maintient une sécurité digestive maximale grâce à des protéines de très haute digestibilité, une teneur réduite en amidon (30,5 %), des minéraux insolubles, des fruco-oligo-saccharides et de la pulpe de betterave.

- Assure la consolidation de l'ossature grâce à un apport quotidien équilibré en calcium (200 à 400 Mg ingérés par Kg de poids vif) et en phosphore (0,9 %), la présence de chondroïtine et glucosamine pour protéger les articulations.

Maxi Junior intègre Immunity Booster : une composition spécifique pour aider à construire les défenses naturelles du chiot.

4. Phase adulte de 15 mois à 5 ans : Maxi Adult.

Pour garder le chien devenu adulte dans une forme optimale, l'alimentation doit à la fois tenir compte de son activité, prévenir les troubles digestifs et anticiper les effets du vieillissement.

Les bons conseils :

- Restez vigilant face à une prise de poids excessive : évitez les friandises et les restes de table, faites-lui pratiquer de l'exercice et choisissez un aliment allégé si nécessaire.

- Fractionnez sa ration alimentaire en 2 ou 3 prises quotidiennes et évitez l'activité physique après les repas, pour prévenir des troubles graves tels que la torsion-dilatation de l'estomac.

Maxi adult :

- Permet une assimilation optimale des nutriments grâce à des ingrédients hautement digestibles et maintient les défenses naturelles fortes grâce à des taux élevés de vitamines E, C et des acides gras essentiels.

- Favorise le bon fonctionnement du muscle cardiaque grâce à l'incorporation de taurine qui stimule sa contraction.

- Protège les articulations grâce à un apport élevé en glucosamine et chondroïtine, la présence d'acides gras Oméga 3 (issus d'huile de poisson) qui limitent l'inflammation, notamment dans le cas d'arthrose.

5. Phase adulte plus de 5 ans : Maxi mature.

Les chiens Maxi ont une espérance de vie d'environ 10 ans. Pour lutter contre les effets du vieillissement, les mesures nutritionnelles adoptées dès le stade adulte doivent être intensifiées après l'âge de 5 ans.

Les bons conseils.
Dès que votre chien Maxi commence à prendre de l'âge, consultez plus régulièrement votre vétérinaire. Il vous indiquera les mesures préventives à suivre pour assurer son bien-être le plus longtemps possible.

Maxi mature.

- Retarde les effets du vieillissement grâce à un taux de phosphore réduit pour la fonction rénale, 26 % de protéines pour éviter la fonte musculaire, des vitamines E et C pour la protection cellulaire.

- Favorise le bon fonctionnement du coeur grâce à l'incorporation de taurine qui stimule sa contraction.

- Protège les articulations grâce à un apport élevé en glucosamine et chondroïtine et des acides gras Oméga 3 (issus d'huile de poisson) qui limitent l'inflammation, notamment dans le cas d'arthrose.

6. L'embonpoint des chiens de plus de 15 mois : Maxi Light.

30 à 40 % des chiens sont en excès de poids. L'embonpoint peut être nuisible à la santé et même à la longévité. Il est donc nécessaire de réagir vite pour ne pas laisser un surpoids s'installer.

Les bons conseils :

- comment déceler l'embonpoint du chien Maxi ? Soyez attentif aux signes suivants : apparition de masse graisseuse sur le thorax, le dos et la base de la queue, baisse de tonus, intolérance à l'exercice ou à la chaleur, essoufflement rapide. Surveillez l'évolution de son poids en le pesant chaque semaine. S'il dépasse son poids de forme de plus de 15 %, une consultation chez le vétérinaire s'impose.

- comment lui faire retrouver son poids de forme ? Optez pour un aliment allégé, en banissant l'alimentation en libre-service et les friandises et en suivant les prescriptions. Faites-lui aussi pratiquer une activité régulière. Il retrouvera ainsi son dynamisme et sera moins essoufflé.

Maxi Light :

- Peut être donné tout au long de la vie du chien adulte.

- Protège les articulations sollicitées par un excès de poids grâce à un apport en glucosamine et chondroïtine, des acides gras Oméga 3 (issus d'huile de poisson) qui limitent l'inflammation, notamment dans le cas d'arthrose.

- Maintient le poids idéal grâce à un apport limité en matières grasses (11 %), 27 % de protéines pour éviter la fonte musculaire, de l'orge pour ralentir la digestion et atténuer les sensations de faim entre les repas.

- Tonifie la masse musculaire grâce à la L-carnitine qui stimule la mobilisation des réserves graisseuses et réduit leur stockage.

7. Les chiens sensibles de plus de 15 mois : Maxi sensible.

Toute variation du mode de vie ou une alimentation déséquilibrée peut entraîner une sensibilité digestive, cutanée ou articulaire. Un retour à l'équilibre sera atteint par le choix d'un aliment spécifique.

Les bons conseils :

- Fractionnez sa ration quotidienne en 2 repas par jour, administrés à heures régulières, mais jamais avant des périodes d'exercice.
- Evitez les restes de tables et les friandises.

- Si les symptômes cutanés ou digestifs persistent, consultez votre vétérinaire.

Maxi Sensible :

- Peut être donné tout au long de la vie du chien adulte.

- Protège les articulations grâce à un apport élevé en glucosamine et chondroïtine, des acides gras Oméga 3 (issus d'huile de poisson) qui limitent l'inflammation, notamment dans le cas d'arthrose.

- Nourrit le poil et protège la peau grâce à des acides aminés soufrés (méthionine et cystine) pour la construction du poils, des acides gras Oméga 6 (issus d'huile de bourrache) pour la brillance du poil, du zinc, de l'acide folique, des vitamines A et B pour la santé de la peau.

- Renforce la sécurité digestive de l'aliment grâce à des fructo-oligo-saccharides pour favoriser l'équilibre de la flore intestinale, du riz comme unique source d'amidon et du psyllium.

8. Spécial race Berger Allemand de plus de 15 mois : German Shepherd 24.

Gardien pisteur, sauveur de vies, etc. Le berger Allemande s'est imposé depuis toujours comme un allié précieux de l'homme. Vigoureux et résistant, il a toutefois un mode de vie et des spécificités digestive et cutanée qui requièrent une alimentation ciblée.

German Shepherd 24 :

- Peut être donné tout au long de la vie du chien adulte.

- Garantit une sécurité digestive maximale grâce à des ingrédients hyperdigestibles comme l'huile de coprah, des mannan-oligo-saccharides, des sels minéraux insolubles, des acides gras Oméga 3 (issus d'huile de poisson) et de la pulpe de betterave pour protéger la muqueuse intestinale.

- Stimule les défenses immunitaires et lutte contre le vieillissement cellulaire grâce à l'action d'un complexe synergique d'antioxydants (vitamines E et C, taurine, lutéine) et de mannan-oligo-saccharides.

- Renforce le rôle barrière de la peau et assure la beauté du poil grâce à l'association de vitamines E et C (600-300 Mg par Kg) et d'acides aminés assurant l'intégrité de la peau par la production de céramides, l'action synergique de l'acide linoléique et du zinc qui nourrissent le poil.

9. Spécial race Labrador Retriever de plus de 15 mois : Labrador Retriever 30.
logorl
L'agilité, la polyvalence et le grand dévouement du Labrador Retriever font de lui l'un des chiens les plus appréciés. Ce chien, venu du froid, au pelage exceptionnel, au corps massif et ayant tendance à l’embonpoint présente des caractéristiques nécessitant une alimentation spécifique.

Labrador Retriever 30 :

- Peut être donné tout au long de la vie du chien adulte.

- Nourrit le poil et protège la peau grâce à l'association de protéines (30 %), d'acides aminés soufrés, d'acides gras Oméga 6 (issus d'huile de bourrache) et d'un complexe exclusif (zinc, vitamines A-B, acides aminés spécifiques).

- Protège les articulations grâce à une teneur élevée en glucosamine et chondroïtine, des acides gras Oméga 3 (issus d'huile de poisson) aux propriétés anti-inflammatoires, du manganèse et un complexe antioxydant pour lutter contre la destruction des cellules.

- Maintient le poids idéal grâce à un taux réduit de matières grasses (13 %), 30 % de protéines et de la L-carnitine pour éviter la fonte musculaire, de l'orge pour ralentir la digestion.

11 mai 2006

le chiot

En tant que propriétaire de chiot, vous avez la responsabilité d'assurer à votre chiot. une bonne croissance et une bonne santé et de lui offrir une vie agréable. Vous devez vous attendre à certains schémas comportementaux et vous préparer à les gérer. L'éducation est indispensable pour aider votre chiot à s'adapter à la vie dans son nouveau foyer.

Voici quelques règles a suivre pour éduquer votre chiot :

  - Soyez ferme mais doux.
  - Soyez cohérent.
  - Allez jusqu'au bout lorsque vous donnez un ordre.


Le comportement du chiot

  - Récompensez toujours votre chiot en cas de bon comportement par de nombreuses paroles d'encouragement et d'affection ou avec une petite friandise. Les chiots/chiens comprennent différentes intonations. Si ces intonations sont utilisées comme suit, la communication avec votre chiot sera moins conflictuelle. Ne criez jamais, les cris signifient que vous ne vous maîtrisez plus et cela pourrait amener votre chiot à vous craindre.

  - Ton aigu. Ce ton est similaire à celui des chiots. Utilisez-le pour motiver votre chiot lorsque vous dites "Viens" ou "Au pied".

  - Ton neutre. Ton qu'un chien utilise pour aboyer. Ton idéal pour donner des ordres, très calme, posé et contrôlé.

  - Ton grave. Similaire à un grognement que la mère de votre chiot émettrait pour signaler à ces petits qu'elle en a assez de leur sottises. Ce ton doit être utilisé pour montrer votre mécontentement, "Non" ou l'avertissement "Ahhh".

1. Comprendre le comportement de votre chiot.
Sachant que le chien moderne descend du loup et qu'il a conservé certaines caractéristiques de ses ancêtres, le comportement de votre chiot devient plus compréhensible. Par exemple, dans une meute de loups, il y a un dominant que les autres suivent. Aussi, vous devez montrer à votre chiot que vous êtes le maître afin qu'il vous respecte et vous obéisse. Cette relation est essentielle à son éducation.

2.Education pour la sécurité de votre chiot.
Votre chiot doit apprendre à réagir à son nom et à venir lorsque vous l'appelez. Il est essentiel que vous soyez capable de donner des ordres à votre chiot et que vous l'appeliez immédiatement lorsqu'il commence à faire quelque chose qu'il ne devrait pas faire. Utilisez souvent son nom et commencez par lui apprendre l'ordre "Viens ". Faites toujours suivre cet ordre de paroles d'encouragement. Il apprendra ainsi à associer des expériences positives à cet ordre. Surveillez-le toujours lorsqu'il est dehors. Assurez vous qu'il est dans une zone clôturée ou bien maintenu en laisse. Il est déconseillé de laisser votre chiot ou votre chien dehors détaché. Même si vous surveillez attentivement votre chiot, la possibilité qu'il se perde ne peut être écartée. C'est la raison pour laquelle votre chiot doit toujours porter un collier avec une médaille portant son immatriculation et son attestation de vaccination contre la rage. Pensez à garder à portée de main une photo récente et la description de votre chiot. S'il se perd, voici quelques conseils qui pourront vous aider à le retrouver :
Montrez sa photo à vos voisins et dites-leur quand et où il a été vu pour la dernière fois.
Créez des affichettes avec la photo et la description de votre chiot. Mettez-les dans les magasins et les écoles de votre quartier.
Faites de fréquentes visites à la SPA afin de vérifier que votre chiot n'y a pas été amené.
Déposez des affichettes.
Allez dans les cliniques vétérinaires et demandez l'autorisation de laisser des affichettes.
Passez une annonce dans la rubrique "chiens perdus et trouvés " de votre journal local.

3. Apprentissage de la propreté.
Après lui avoir appris à reconnaître son nom et à venir lorsque vous l'appelez, vous devez lui apprendre à être propre. Un chiot est propre lorsqu'il ne fait plus ses besoins dans la maison. Votre chiot doit être vacciné avant de commencer à lui apprendre à faire ses besoins à l'extérieur. Il doit également être exempt de parasites car un chiot infesté peut avoir des difficultés à contrôler ses intestins. L'apprentissage de la propreté comporte quatre étapes majeures.

a/ Une alimentation adaptée donnée à heures fixes
Le mot clé est la cohérence. Vous devez faire preuve de cohérence dans la nourriture et les heures des repas. L'estomac d'un chiot est sensible aux changements de nourriture, vous ne devez donc pas changer son régime alimentaire au cours de la période d'apprentissage de la propreté. En nourrissant votre chiot aux mêmes heures chaque jour, vous habituez son appareil digestif. Il aura alors besoin de faire ses besoins peu après chaque repas. Après le repas, sortez-le au même endroit chaque fois. Restez avec lui et encouragez-le avec des paroles tels que "c'est l'heure d'être propre" ou "dépêche-toi". Dites ces paroles d'une voix joyeuse afin qu'il associe ces mots avec le fait de se soulager. Lorsqu'il a terminé, félicitez-le d'une petite tape amicale et répandez-vous en éloges, du style "Bon chiot !" Puis ramenez-le immédiatement à l'intérieur. Ne prolongez pas ce moment en une séance de jeu car vous perturberiez votre chiot quant au but de la sortie. Votre chiot peut avoir envie de faire ses besoins lorsqu'il se réveille le matin, après ses siestes, dès qu'il a fini de jouer, après avoir bu et juste avant de se coucher le soir. Utilisez la même porte chaque fois que vous sortez votre chien. Il apprendra ainsi à associer cette porte au fait de sortir pour faire ses besoins et il la grattera ou la reniflera pour vous faire comprendre qu'il a besoin de sortir. Il peut également vous faire comprendre qu'il a besoin de sortir en reniflant le sol, en tournant en rond ou en s'accroupissant. Sortez-le immédiatement dès qu'il manifeste un de ces signes.

b/ Un endroit rien qu'à lui.
Dès que vous ramenez votre chiot à la maison, il est important de lui apprendre que son panier est son "refuge", l'endroit où il dort, s'assoupit et reste dès qu'il est seul. Ne mettez rien à l'exception de quelques jouets à mâchouiller en caoutchouc dur ou en nylon (dès qu'il aura appris à ne mâchouiller que les jouets, vous pourrez mettre une serviette, une couverture ou un oreiller pour un couchage plus confortable). La première chose à faire chaque matin est de le porter ou de le conduire en laisse jusqu'au lieu où il fait ses besoins en l'encourageant et en le félicitant dès qu'il a terminé. Puis ramenez-le à la maison. Les chiots respectent leur coucher à condition d'être sortis à intervalles réguliers. N'oubliez surtout pas de le sortir après chaque repas. Pendant son apprentissage de la propreté, vous ne devez pas lui permettre de se promener dans la maison sans surveillance. Lorsque vous vous absentez, vous devez le laisser dans une pièce qui se nettoie facilement (la cuisine, la buanderie ou la salle de bains).
Un chiot ne doit pas être laissé seul pendant de longues périodes car il ne sait pas se retenir. En règle générale vous devez ajouter un à son âge en mois pour avoir le nombre d'heures pendant lesquelles vous pouvez le laisser dans un endroit sans avoir besoin de le sortir. Par exemple, un chiot de deux mois ne peut pas être laissé plus de trois heures sans sortir. Si vous vous absentez pendant longtemps, demandez à une personne de confiance d'emmener votre chiot faire ses besoins à intervalles régulier. Essayez de ne pas laisser des chiots plus âgés seuls pendant plus de huit heures. Ils ont besoin d'exercice et de socialisation. Si vous respectez ces quelques règles, votre chiot sera propre en quatre et six semaines. Certains sont propres plus tôt, d'autres ont besoin de six semaines, ne vous découragez donc pas si votre chiot a besoin de temps. Chaque chiot est différent. Votre patience et votre persévérance seront récompensées.

c/ Une punition adaptée
Vous ne devez jamais punir votre chiot pour avoir fait ses besoins dans la maison. Contrairement à la croyance populaire, si votre chiot a un accident dans la maison, vous ne devez pas lui mettre le nez dedans, lui crier dessus, le happer ou le jeter dehors dans le jardin. Une punition différée ne fait que perturber votre chiot. Si vous voyez qu'il s'est "oublié" sur le sol, emmenez-le là où il a fait et dites-lui "Non !" d'une voix ferme et aiguë. Puis nettoyez avec un papier absorbant. Emmenez le chiot et le papier mouillé ou souillé dehors jusqu'à l'endroit où vous emmenez votre chiot a l'habitude de faire ses besoins. Placez le papier au sol et laissez votre chiot le renifler. L'odeur amènera votre chiot à vouloir faire ses besoins à cet endroit la prochaine fois. Si vous observez régulièrement le comportement de votre chien, vous ne devriez pas trouver de saletés au sol. Dès que vous constatez des signes qui vous laissent penser qu'il est sur le point de faire ses besoins dans la maison, dites "Non" sur le ton adéquat et sortez-le immédiatement à l'endroit approprié. Dès qu'il a terminé, félicitez-le.

d/ Utilisez un neutralisant d'odeurs.
L'odorat de votre chiot est beaucoup plus développé que le vôtre. S'il a un accident dans la maison et que l'odeur n'est pas éliminée, il retournera au même endroit plus tard. Les produits de nettoyage traditionnels élimineront l'odeur pour votre nez, mais pas pour celui de votre chiot. La plupart des animaleries vendent des neutralisants d'odeurs animales très efficaces. Apprentissage de la propreté sur du papier journal
Le papier journal peut être une solution temporaire avant que votre chiot soit vacciné et apte à être emmené à l'extérieur. C'est également une solution pour un petit chien si vous avez de nombreux étages à descendre ou si vous avez des difficultés à sortir votre chiot régulièrement. Le papier journal est plus efficace chez les femelles que chez les mâles. Une fois qu'il est adulte, le mâle lève la patte et risque de se soulager à côté du papier. La même méthode en quatre étapes s'applique sauf que vous apprenez à votre chiot à faire ses besoins sur des couches de papier journal dans la maison. Un chiot qui a appris à faire sur du papier journal peut avoir plus tard des difficultés à acquérir la propreté car il peut avoir compris qu'il est autorisé à faire ses besoins dans la maison. Plutôt que de simplement placer des journaux sur le sol de la cuisine, il est recommandé d'utiliser un parc d'exercice qui se présente sous la forme de panneaux et peut être modulable en taille et en forme. Mettez le parc dans la cuisine, un garage à température contrôlée ou au sous-sol. Placez le panier de votre chiot à une extrémité du parc avec la porte ouverte. Mettez ses gamelles à côté avec quelques jouets à mâchouiller en caoutchouc dur ou en nylon. Placez des journaux à l'autre extrémité du parc aussi loin que possible de sa zone de repas et de couchage. Pour aider votre chiot dans sa période d'apprentissage de la propreté, utilisez le papier journal uniquement lorsque vous n'êtes pas à la maison.

4. Le mâchouillage
Les problèmes de mâchouillage sont généralement dus à l'apparition des dents du chiot, à l'ennui ou au stress et vous devez le décourager immédiatement avant qu'il ne prenne cette habitude. Donner à un chiot des glaçons peut l'aider à soulager ses gencives pendant les poussées de dents et de nombreux jouets peuvent remédier à son ennui. Un chiot confiné à son parc n'aura pas de problème de mâchouillage en votre absence. Lorsque vous surprenez votre chiot à mâchouiller quelque chose qu'il ne devrait pas, faites lui comprendre que son comportement est répréhensible en lui disant "Non !" ou "Ahhh !" et en lui indiquant un jouet à mâchouiller. Félicitez-le quand il mâche le jouet en disant d'un ton aigu et d'une voix joyeuse "Bon chien !" et en lui donnant une tape amicale. Pour empêcher votre chiot de mâchouiller les meubles, des produits au mauvais goût mais inoffensifs pour les chiens sont disponibles dans les animaleries. Ils se déposent sur les meubles et dissuadent les chiens de mâchouiller.
Demandez conseil à votre vétérinaire sur ces produits et veillez à en choisir un sans risque pour les animaux et les meubles.

5.Les pleurs et les gémissements
Votre chiot considérant votre famille comme sa meute, il veut passer le plus de temps possible avec vous. Les chiots adorent le contact avec les humains. Même si cela est parfois nécessaire, rester seul peut être stressant pour un jeune chien. Un chiot ne sait pas quand vous allez revenir. Son anxiété naturelle prend le dessus et il peut pleurer, gémir voire hurler (comme un loup essayant d'appeler les siens).
Votre chiot a besoin de réconfort. Vous pouvez commencer à apprendre à votre chien à rester seul en le laissant de courtes périodes de temps dans une pièce pendant que vous êtes à la maison. Lorsque vous le retrouvez, félicitez-le pour le réconforter. Vous pouvez alors vous absenter de la maison pendant de courtes périodes de temps les jours où vous ne travaillez pas, en augmentant progressivement la durée de vos absences et en le félicitant toujours lorsque vous le retrouvez. Efforcez-vous de ne pas en faire trop chaque fois que vous partez et que vous revenez car cela ne fera que renforcer le sentiment d'anxiété de votre chiot. Moins vous en ferez, mieux ce sera. Lorsque votre chiot grandira, il s'attendra à vos allées et venues car il sera plus confiant quant à votre retour. Donnez lui des jouets pour le distraire. Vous pouvez également laisser la radio doucement dans une autre pièce, les voix lui donneront un sentiment de sécurité.

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9 mai 2006

rhoooo chipie

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9 mai 2006

dodo

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(ma oxane dormait exactement comme ça!!!!)

Il est temps mon ange
de dormir un p'tit peu
on est la pas très loin
en fait, on est là
et on compte
tes battements de cils, tes soupirs
quand tu t'endors, ne t'en fais pas
on viendra te chercher
pour dormir ensemble
demain on se réveillera avec le soleil
de tes yeux
mais en attendant mon cœur
de dormir un p'tit peu
Alors chut...

8 mai 2006

tite pisseuse va...

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7 mai 2006

photo chipie

img_00063Ta de beaux yeux tu sais

7 mai 2006

ma petite chipie

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femelle labrador"lof" chocolat de 3 mois, sont véritable nom brise et repond sous le nom de chipie elle est pleine de vie et commence a decouvrir le monde.

Chien plus qu'agréable, il est un des plus appréciés chiens de compagnie. C'est un chien qui a besoin d'exercices.

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chipie
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